Le « Glareshield » également dénommé « auvent » chez les airbussiens et sur les avions français, est constitué de trois blocs de menuiserie , CPT-G, CEN-G et FO-G, solidaires des blocs de tableau de bord des mêmes noms.
Les dimensions dépendent des panneaux choisis, variables d’un fournisseur à un autre. Pour ma part, grâce à l’amabilité de Valério « Captain Minch », qui avait des panneaux de FlightDeck Solutions inutilisés, c’est ce fournisseur qui équipe mon Glareshield. Ces panneaux sont de très bonne qualité, de découpe précise, la peinture est un RAL des dernières générations d’Airbus, et leur épaisseur, 9 mm, très rassurante. La longueur des trois panneaux CPT-EFIS, FCU et FO-EFIS est de 263 mm, sur une hauteur de 89 mm. Les deux petits panneaux « wing » latéraux mesurent 328 mm de long. Les panneaux centraux sont plus larges que le bloc CEN, c’est normal. Les trois blocs débordent largement du tableau de bord, et le « couvercle » est encore plus large de 55 mm. Il semble que lorsque le pilote est normalement assis, sa ligne de vision soit dans l’alignement du bas du Glareshield, et non du haut. Dans ces conditions, le Glareshield ne risque pas de masquer les instruments de bord.
le bloc CEN-G central
Simple boite en médium de 9 mm, selon les plans ci-dessous


Le « plancher » du Glareshield est vissé par 4 vis à bois de 4×30 sur les tasseaux H du bloc CEN. Il est percé de deux triangles permettant l’éclairage du tableau de bord (attention au sens de la découpe …) Deux ou trois LEDs blanches puissantes sont montées à l’intérieur du bloc sur un morceau de charnière dure, qui permet l’orientation du faisceau lumineux. Sous le bloc, le triangle est fermé par un morceau de plexi fin et une gélatine jaune cassant la lumière trop crue des LEDs. Il est important de peindre les tranches de ce plexi pour éviter les fuites de lumière.
Les côtés doivent être préparés en même temps que leurs voisins dans les blocs CPT-G et FO-G. En effet leur tranche supérieure a le même angle, et ces deux panneaux seront préparés ensemble pour les percer simultanément de deux trous de 6,3 mm (vis d’assemblage) et d’un trou assez grand pour laisser passer un connecteur Sub-D de 15 broches.

Tous les côtés sont assemblés par des cornières et des vis à métaux de 3×25, ce qui permet leur démontage facile pour d’éventuelles modifications dues à l’aménagement intérieur. A noter que le fond… n’est pas au fond. Le couvercle est un peu plus compliqué, du fait de la double pente des côtés. La partie pentue peut être découpée, son angle ajusté au rabot, puis collée. Il faut alors prévoir un peu plus de largeur dans la planche. Ou, autre solution, on pratique une fente à la scie circulaire ou à la défonceuse, pour ne laisser qu’une épaisseur de médium de 2,5 mm sur le dessus.


Avec un pinceau, on mouille bien le fond de cette fente, on attend un quart d’heure. Sans attendre le complet séchage, on remplit la fente d’un mélange de colle vinylique et de sciure, on bourre bien, on plie au bon angle, et on laisse sécher une nuit. Le couvercle sera par la suite recouvert d’une couche de mousse de 2 millimètres et de Skai noir, le tout collé à la néoprène. L’épaisseur de cet habillage explique que la largeur du couvercle soit plus faible que la largeur du bloc CEN-G. Ce couvercle sera simplement posé sur les flancs du bloc, il ne risque pas de bouger –sauf en cas de vol dos-. Pour retirer le couvercle, s’il y a un pare-brise installé, la seule solution est de le faire glisser vers l’arrière, on pourrait donc mettre des cales pour le guider latéralement, mais il ne doit pas y en avoir transversalement. Enfin, on notera que la fente pour laisser passer la potence est sensiblement plus large que celle-ci, car il passera des fils venant de l’Overhead à cet endroit.
L’intérieur de tous les blocs de Glareshield est peint en blanc, l’extérieur le sera en bleu marine très foncé, les couvercles sont en Skai noir. Il est tout à fait possible de peindre le Skai noir en bleu marine foncé, ce qui serait plus conforme à la réalité. La peinture acrylique tient très bien sur ce support je ne suis pas arrivé à le rayer ni à le fissurer en le froissant.

L’ensemble des panneaux FCU + EFIS mesurera 575 mm de large (voir chapitre 6-le FCU, les EFIS). Ce bloc de trois panneaux sera monté encastré entre les flancs du Glareshield, et non en applique, car les composants des EFIS arrivent au ras des bords des panneaux de face avant et nécessiteraient une découpe dans les flancs du Glareshield.
les blocs latéraux CPT-G et FO-G
Nous avons déjà les flancs centraux, percés en même temps que leur voisin du bloc CEN-G. Nous pouvons préparer le plancher et le deuxième flanc, d’une hauteur de 40 mm, la hauteur du petit côté de la face avant “Wing”, plus 2 mm par sécurité. Ce deuxième flanc, dont la tranche supérieure a le même angle que le flanc opposé, doit être coupé plus long que nécessaire, à environ 150 mm, on le recoupera ensuite. La largeur du plancher des Glareshield latéraux est en principe de 500 mm. En réalité, c’est la largeur des trois blocs inférieurs moins 593 mm et divisé par deux.
A partir de là se pose le problème crucial, qui change complètement la suite des opérations: va t’on faire un pare-brise ?
le pare-brise
Le choix est important. Le pare-brise, et ses montants latéraux qui passent dans les blocs CPT-S et FO-S n’est pas indispensable pour rigidifier l’Overhead. Tel quel, il a une petite souplesse en torsion à l’avant, mais qui n’est guère gênante. L’utilité d’un pare-brise est tout autre. Dans une structure complètement ouverte, on n’a pas vraiment l’impression de se trouver dans un avion, l’environnement pénètre de partout. Dès qu’on fait l’essai de placer un simple tasseau figurant un montant de pare-brise à droite et à gauche, l’impression change totalement, le champ visuel est contenu dans un espace bien délimité. Et si on ajoute les côtés horizontaux du pare-brise cela change encore énormément, on est vraiment dans un cockpit, le champ visuel est cadré sur l’écran de projection. C’est très psychologique et subjectif, car ces quatre baguettes n’ont ni l’épaisseur des vrais montants de pare-brise, ni même exactement la bonne position, mais à mon avis cela vaut le travail supplémentaire.
Car du travail, il va y en avoir. Le montage d’une telle structure est complexe, les tasseaux ont tous deux plans de coupe, c’est à dire que leur section d’assemblage est toujours un losange aux côtés inégaux. Une fausse équerre ou un rapporteur d’angle vont être indispensables. Il faudra également que le tout soit très facilement démontable. Autant que possible, on respectera la géométrie de l’avion réel, mais des compromis seront nécessaires du fait que nous n’avons pas les flancs du fuselage, dans la réalité on dispose de plus de largeur. Par exemple, l’angle des deux pare-brise vus de dessus, inclinés vers l’arrière d’environ 30° sera réduit à 22°,vu de côté, l’angle de la potence est bien de 48°, mais comme nos blocs de tableau de bord sont moins profonds qu’en réalité, le petit bout de plafond presque horizontal situé entre l’avant de l’Overhead et le pare-brise est plus court qu’en réalité. Par contre, nous respecterons les points suivants: les deux montants latéraux seront égaux et dans un même plan, de même que les deux côtés horizontaux, on aura donc un parallèlogramme, et on pourrait y mettre une feuille de plexi, ce que nous ne ferons pas.
La toute première chose à faire est de bâtir un gabarit à la forme souhaitée. Toutes les baguettes disponibles et tout ce qui peut ressembler à un serre-joints vont être mobilisés.
Après pas mal d’ajustements, l’objet ressemble à ceci:

Certains supports ou « piges » sont provisoires, juste pour soutenir l’ensemble. On a placé le couvercle du bloc FO-G, qui sera recoupé ensuite, car in donne l’inclinaison du montant inférieur du pare-brise. Et donc du montant supérieur, parallèle.

Ce gabarit de montage sert surtout à relever les angles, plus qu’à donner les dimensions des éléments.
Le point de départ de la construction est le montant en forme de potence fixé dans chaque bloc Stick. Il s’agit de deux tasseaux de 27×27 mm, A et B, coupés au bon angle, collés à l’Araldite et renforcés par une vis de 5 x 5O TF (trou de 5,1 dans B et avant-trou de 4 dans A). Attention, la vis de renfort doit être assez verticale, si elle est trop en biais, sa tête risque de dépasser dans la partie superflue du tasseau qui sera à la fin découpée et poncée. Donc bien vérifier l’alignement avec les faces du poteau inférieur A.
Le montant vertical A sera vissé plus tard dans le bloc Stick correspondant. Dès maintenant on peut le percer de deux trous de 6,3 mm, c’est plus facile sous la perceuse à colonne qu’à l’intérieur du bloc.
Le montant A doit être placé exactement dans l’alignement du plancher du Glareshield, d’où l’intérêt d’avoir construit d’abord le bloc CEN-G.

B est donc incliné vers le haut, mais aussi vers l’intérieur du cockpit. Sa longueur sera de 620 mm, mais on coupe un morceau de 750 mm qu’on recoupera à la fin. Où arrive dans l’espace l’extrémité supérieure de B (point P)? Sur l’axe transversal, ce sera à 910 mm de l’axe du cockpit. Sur l’axe vertical, ce sera 1335 mm. Du sommet de B, sur chaque montant, un tasseau horizontal C rejoint l’Overhead, nous nous en occuperons après la réalisation du pare-brise.
Quand ces conditions sont réunies, on fixe A à l’intérieur du bloc FO-S avec des serre-joints, on fixe l’autre extrémité de B sur des piges verticales donnant la position du point P, et on colle. On fait de même pour le montant côté pilote. Si tout a été monté correctement, les deux B sont parallèles entre eux et parallèles à la potence centrale.

Nous allons maintenant poser les horizontaux des deux pare-brise.
La première chose à faire est de placer un « couvercle » sur les deux cloisons des blocs de Glareshield latéraux, c’est lui qui donnera l’inclinaison, comme vu précédemment. Il faut également tenir compte de l’épaisseur du futur revêtement de ce couvercle, environ 3 mm, donc placer des cales. Une extrémité du montant inférieur doit arriver à l’intersection des montants verticaux A et B. L’autre extrémité passera sans doute légèrement au dessus de la potence centrale, il faudra donc mettre une pièce de liaison en biseau pour remplir cet espace. Ce sera un morceau de tasseau de 13 x 28 mm en obéché ou en samba. Ce même type de tasseau servira pour tous les montants de pare-brise, l’obéché est bien plus régulier que le pin, qui aurait toujours tendance à se déformer. Chaque pare-brise est indépendant, pour faciliter le démontage et le transport éventuel. Il s’agira donc d’un cadre de 28 mm de largeur, simplement posé sur le montant A/B et sur l’avant de la potence centrale. Une fois la position de la barre inférieure du cadre déterminée, il suffira de reporter 490 mm sur A/B et sur la potence pour avoir la position de la barre supérieure. Le collage de ces quatre côtés ne pose pas de problème, mais il est bon de le renforcer par une goupille. La fixation est très simple: ils reposent sur le couvercle de chaque bloc latéral de Glareshield, également sur A/B qui a été muni d’un tasseau de 10×10, et sur la potence. Les cadres sont fixés par des rondelles adhésives de Velcro, ou par des vis à m étaux enfilées dans un tube de laiton collé dans B. On remarquera que deux largeurs de 28 mm font plus que la largeur de 43 mm de la potence, c’est voulu et sera utile plus tard pour le passage des fils.


Il nous reste à faire les deux tasseaux C, rejoignant l’Overhead au point P.
Ces tasseaux n’ont pas vraiment de rôle structurel, ils servent surtout pour le « toit », les deux triangles entre le haut du pare-brise et l’Overhead.
Leur positionnement se fait à l’œil. Un bout du tasseau est tenu au point P. On remonte ou on descend l’autre bout le long du côté de l’Overhead de manière à ce que le tasseau C soit visuellement parallèle au haut du pare-brise, donc dans un même plan. On trace le point d’arrivée sur l’Overhead, et la coupe en biseau à réaliser. On coupe, on trace l’intersection avec le montant B, on coupe. On remarque que C n’est pas du tout horizontal.
Reste à préparer deux équerres dans un morceau de barre perforée de 20 mm de large (déjà utilisée pour la caisse de l’Overhead). On plie au bon angle pour relier C au côté de l’Overhead, on fixe avec des vis à bois dans C et des vis à métaux de 5 dans l’Overhead, c’est là que ce sera démontable pour le transport.
On peut maintenant aligner B avec la tranche de C, et percer les deux en même temps. Dans C on mettra un insert en nylon de 6 mm intérieur (8 extérieur), B sera percé à 6,3 et fraisé pour la tête de vis. On peut fixer maintenant les deux B dans chaque partie de C, retirer les serre-joints des blocs Sticks et si nécessaire déplacer légèrement A dans ces blocs pour que cela tombe naturellement, sans forcer. Percer alors le flanc du bloc en passant par les trous de 6,3 préparés dans A, pour mettre deux vis de 6 x 50 TH. Pour le transport éventuel, cette potence A + B restera donc solidaire du bloc Stick, et C soit restera solidaire de l’Overhead, mais c’est fragile, soit les équerres seront démontées.
On peut maintenant retirer les piges inutiles et constater que l’Overhead est totalement rigide dans tous les sens. Et on peut couper les parties inutiles des tasseaux.

le toit
Entre le tasseau C de l’Overhead et le haut des deux pare-brise, se trouvent deux triangles qu’il serait bon de boucher. En principe, si le tasseau C est bien dans le même plan que le haut du pare-brise, on doit pouvoir boucher ce triangle avec une planche, sans avoir besoin de la vriller.
Une autre solution, plus légère a été retenue, consistant à coller sur le montant supérieur du pare-brise, à l’intérieur du cockpit, un tissu, qui sera tendu et tenu de l’autre côté, sur C. Quel tissu choisir ? Le Skai serait réaliste, mais un peu lourd, et risque de déformer à la longue le montant supérieur du pare-brise, qui va se courber. L’idéal semble être un morceau de toile pour peintres, toile de lin ou synthétique, enduite d’un apprêt, qui se vend dans les magasins spécialisés (ou sur Internet chez « Le Géant des Beaux Arts ») en largeur de 2,40 m. Il en faut 50 cm de large. Le côté enduit , à l’intérieur du cockpit, pourra être peint à l’acrylique bleu marine, l’extérieur soit gris, soit noir comme le dessus du Glareshield.

La première opération, après peinture du tissu, consiste à l’agrafer sur le montant supérieur du pare-brise. Une bande de carton fort évite les plis en tension :
On pose ensuite le tissu, on le punaise en place pour vérifier les dimensions, on coupe l’excédent.
Vu de l’intérieur, la bande d’agrafes n’est pas très esthétique, on collera par-dessus une autre bande de carton et le tout sera peint en gris clair.

Enfin, l’autre côté du tissu sera agrafé sur un tasseau, fortement tendu, et vissé sur le tasseau C

Le pare-brise est maintenant terminé, on peut retirer les blocs latéraux CPT-S et FO-S, enlever les deux planchers extérieurs, et les couper en biseau à l’avant, comme indiqué sur ce plan :

Nous avons donc à ce stade le bloc de Glareshield central, quasi terminé, le pare-brise et le début des blocs de Glareshield CPT et FO.
Ces blocs sont plus complexes à réaliser. Bien sûr, on pourrait se contenter de terminer les ailes latérales « wings » comme ci-dessous, mais à droite et à gauche, il y aurait un trou entre le Glareshield et les montants A et B du pare-brise. Inesthétique.

A partir de l’extrémité de la face avant « wing », le plancher a en réalité une cassure et plonge vers le bas. Ce pli pourra être réalisé en l’entaillant à la défonceuse, comme vu précédemment, ou à la scie circulaire. Le plancher du Glareshield doit se poursuivre jusqu’au montant de pare-brise. La photo ci-dessous explique bien les découpes à faire.

Le bloc FO (ou CPT) donne l’impression de passer à travers le plancher de FO-G, découpé pour le laisser passer. On aurait pu découper les flancs extérieurs des blocs CPT et FO 22 mm moins hauts, pour suivre la pente du plancher du Glareshield, mais le risque était grand de ne pas obtenir la règle à respecter ici : le plancher et le toit des Glareshield extérieurs sont parallèles. A tel point qu’il est tout à fait possible de remplir l’espace entre les deux avec un bloc de polystyrène extrudé de 40 mm d’épaisseur, qui servira à la fois de raidisseur, de face avant, peinte à l’acrylique bleu marine, et de face arrière. Il est inutile de prévoir le toit démontable au dessus de ce bloc de polystyrène, seule la partie au dessus de la face avant « wing » le sera. On donnera donc un coup de scie au niveau de l’extrémité de la face « wing », et on collera le reste sur le polystyrène à la colle vinylique.
Enfin, on remarquera que le « toit » du bloc va jusqu’au poteau A, mais en ligne droite, sans cassure. Au niveau du toit du bloc central le débord étant de 55 mm par rapport à la face avant instruments et ce débord réduit à 0 au niveau du poteau A, cela signifie que le toit n’est pas parallèle au plancher. Plus évident à construire qu’à expliquer …

Le bloc de polystyrène

Collage du dessus

Le panneau « Wing » F/O
les « triangles » des haut-parleurs
…qui d’ailleurs sont des trapèzes. Pièces difficiles du fait des coupes en biais multiples. Il est inutile de faire un plan, la meilleure méthode consiste à prendre des relevés sur place, voire à faire des gabarits. Ne pas oublier que les blocs doivent être facilement démontables, on ne peut donc pas visser les côtés du compartiment haut-parleurs à la fois sur le bloc FO et sur FO-S par exemple. Les choses se compliquent encore si les aérateurs qui se trouvent au dessus des haut-parleurs sont fonctionnels, ce qui est le cas sur mon cockpit. Ces aérateurs sont alimentés en air par des petits ventilateurs d’ordinateur, le compartiment haut-parleur doit donc être raisonnablement étanche pour que l’air aspiré ressorte par les aérateurs et non par les côtés. En fait, il n’est pas indispensable d’assurer l’étanchéité par des bourrelets de mousse de calfeutrage adhésive, avec un peu de soin les pièces se joignent bien et très peu d’air s’échappe.

Tracé du côté du logement de haut-parleur

Tracé du fond du logement de haut-parleur
Le côté principal du bloc est vissé par des vis de 3 ou 4 mm dans une cornière alu taraudée, placée sur le fond du compartiment, et par des pattes d’alu, également taraudées, fixées sur le fond du Glareshield. Au cas, peu probable, où il faudrait séparer le Glareshield du bloc CPT ou FO, il faudrait donc retirer les deux vis en question. Ce montage permet l’accès à l’intérieur du compartiment haut-parleur. Le passage des fils de haut-parleur et d’alimentation du ventilateur doit être étanchéifié par de la mousse. Attention au montage du haut-parleur, l’espace est limité et certains haut-parleurs cubiques risquent de dépasser à l’extérieur du volume qui leur est imparti.
La zone haut-parleurs est peinte en bleu marine foncé.

le Glareshield installé

le Glareshield central peut accueillir la plupart des cartes IOCards:

Plan d’ensemble du cockpit : principales cotes. La longueur totale peut être portée à 2m si on place les deux ordinateurs à l’avant du cockpit, devant les blocs CPT et FO.
